La construction des établissements de jeux se poursuit

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La concurrence des casinos en ligne ne freinent pas la construction des établissements de jeux

La forte concurrence des casinos en ligne ne freinent pas la construction des établissements de jeux ! Les évolutions continuent et sont de plus en plus forte en France, puisque les établissements de jeux doivent se battre contre ce perpétuel « fléau », les jeux d’argent et de hasard en ligne. Si le gouvernement fait la sourde oreille dans ce dossier, les casinos terrestres doivent avancer et survivre. Dans ce contexte, ils se doivent de faire évoluer leur catalogue de jeux ou d’activité, mais ils doivent aussi s’implanter dans des endroits stratégiques pour retrouver un second souffle.

Groupe Arevian
C’est dans le Gers que le groupe Arevian a décidé de s’implanter. En effet, la mairie de Lectoure vient de donner le feu vert pour la construction d’un établissement de jeux. Il verra le jour en juin ou juillet 2018. Lectoure c’est une ville thermale, donc l’état a tout de suite validé cette demande. Sa salle de jeux comprendra donc une roulette anglaise, 50 machines à sous et une table de blackjack. Ce groupe a aussi prévu d’organiser une centaine d’animations par an. C’est le troisième casino qui sera donc implanté dans le Gers après Barbotan et Castéra-Verduzan, mais c’est le douzième établissement de jeux de ce groupe Arevian.

Casino de Berck
Pour survivre et se relancer dans ce secteur de jeux, l’établissement de jeux de Berck a décidé d’organiser des animations ou des soirées à thème. Cette fois, c’est une soirée Bingo qui a été organisée et c’est surtout, la volonté d’attirer une nouvelle clientèle. Le groupe Partouche est un adepte de ces manifestations, surtout que ces dernières permettent d’apporter une belle convivialité et un nouvel élan. Le public est différent et à la fin de la soirée, il sera peut-être amener à jouer quelques pièces afin de se divertir un peu plus.

Casino de Dieppe
Les établissements de jeux en France doivent maintenant s’adapter et innover pour survivre dans ce secteur des jeux d’argent et de hasard en ligne. A Dieppe, le groupe Partouche n’a donc pas lésiné sur les améliorations puisque qu’il a choisi de tout bouleverser. Les travaux vont s’élever à plus de 2,5 millions d’euros et il faudra attendre quelques mois et notamment le mois de mai, avant de voir les dernières innovations.

Casino de Lons le Saunier
Cette fois, cet établissement de jeux a décidé de suivre son temps avec l’arrivée du virtuel. En effet, c’est une croupière virtuelle qui sera présente dans le casino de Lons le Saunier et sur une table de blackjack. La situation n’est pas étrange dans les casinos en ligne, mais sur les terres, elle est assez particulière. C’est une première dans ce secteur et attention, la croupière semble être totalement réelle, car elle vous parle, vous regarde, distribue les cartes…C’est une formidable trouvaille et c’est surtout, l’assurance de la venue de nombreux curieux. La société américaine, Bally technologies, a déjà quelques machines de ce genre aux Etats Unis, mais en France, ce sera une grande première. Cette nouveauté pourrait rapidement inonder le marché français, mais attention, il ne faudrait pas qu’elle remplace définitivement les vrais croupiers.

Casino de Pléneuf Val André
C’est encore le groupe Partouche qui a décidé d’innover avec l’arrivée du virtuel dans l’un de ses établissements. A Pléneuf val André, les responsables ont donc décidé d’attirer une nouvelle clientèle avec ce nouveau système. En 2015, le jeu, Roller Blaster (Montagnes Russes), est entré dans le casino et depuis, les clients peuvent vivre de formidables aventures avec ces jeux virtuels. Les moins de 55 ans sont donc visés par le groupe Partouche et dans quelques semaines ou quelques mois, le train fantôme devrait débarquer à Pléneuf Val André. C’est une valeur sûre et une belle innovation pour un secteur qui est toujours sur la « corde raide ».

Casinotiers en France
Entre 1991 et 2006, c’est une centaine de casinos qui ont vu le jour sur le territoire Français. Aujourd’hui, ce sont 6 groupes de casinos qui se battent pour être le meilleur en France. Si en 2005, le groupe Lucien Barrière possédait 30% de parts dans ce secteur, la situation semble avoir légèrement évoluée depuis quelques années. Les groupes s’affrontent dans ce secteur et après Partouche, c’est Lucien Barrière qui a été propulsé sur le devant de la scène. Derrière ces deux monstres, il ne faudra pas oublier le groupe Tranchant qui a été créée en 1987 et qui détient une vingtaine de casino en France et à l’étranger, mais aussi Joa, qui compte 21 établissements sur le sol français et une part de marché de 9%.

Ensuite, les « petits » luttent pour exister comme Emeraude, Cogit, Vikings, Arey, Omnium et Tahoe. Au total, ce sont une trentaine de casinos qui sont représentés par ces sociétés. Si les groupes se sont multipliés, les machines à sous sont passées de 2 110 en 1989 à plus de 19 000 en 2006. Aujourd’hui, le nombre de slots a encore évolué. C’est un secteur qui risque encore de faire des folies, malgré la concurrence des sites en ligne, mais qui pourrait bientôt s’essouffler.

En France, il existe plus de 190 casinos terrestres, mais aujourd’hui, ils doivent continuer à lutter pour survivre. La loi sur les jeux d’argent et de hasard en ligne n’ayant pas évolué, ils se doivent d’innover et de suivre les dernières technologies. Le gouvernement français va devoir rapidement se pencher sur cette question et sur cette loi, car la situation devient étouffante pour les « petites » maisons de jeux, mais aussi pour les joueurs qui s’exilent de plus en plus vers les pays limitrophes comme l’Espagne, l’Italie, la Suisse, le Luxembourg…

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